kwaadbloed vzw

LIMP

Simple Machines

★★★★★ “It’s a masterful presentation, with Dehaes exhibiting utter commitment to his bit.”
06/02/2024 - QR.co.uk

★★★★☆ But if the future looks anything like the ballet-tight-clad robotics of Simple Machines? Sign us up for the mechanical revolution. Humorous, insightful, and anything but simple – Dehaes illustrates the value of their choreographed work with little issue while entertaining audiences with this truly unique piece of visual theatre and dance.
06/02/2024 - corrblimey.uk

★★★★★ I have never seen anything like this before. Dehaes combines robotics, dance, satire and philosophy and has created a truly unsettling piece of theatre. Perhaps the real monsters are human beings, after all.
06/02/2024 - northwestend.com

You can rely on Edinburgh’s Manipulate festival to give you something you have never seen before. This year, it comes in the form of Simple Machines (★★★★☆), an opening weekend treat by Belgian choreographer Ugo Dehaes.
05/02/2024 - The Guardian

“Simple Machines” is a robotic ballet choreographed by Ugo Dehaes, which replaces human dancers with mechanical ones. This performance is significant for its commentary on cost-cutting trends in businesses and its ability to elicit an enchanting quality despite the non-human performers.
05/02/2024 - TS2.space

Simple Machines à DIGITHALIA in Graz (AT).
Article en Allemand.
15/03/2024 - Kronen Zeitung

Simple Machines @ DIGITHALIA, Graz (AT)
article en Allemand.
13/03/2024 - steiermark ORF.at

Ugo Dehaes met ‘Simple Machines’ (7+) in CC De Werf: “Robots worden geboren uit gekke cocons”
20/02/2024 - Het Laatste Nieuws

De zowat twintig, dertig aanwezigen kijken geamuseerd en geboeid toe. In totaal konden ze een tiental robotjes bewonderen.
26/01/2020 - Het Laatste Nieuws

Ugo Dehaes toont een inkijk in zijn werk als technisch laborant, in zijn evolutie van choreograaf naar uitvinder...Rijk zal Dehaes er niet meteen van worden, maar hij laat zijn publiek wel lekker genieten van zijn artistieke inventieve spielerei.
09/12/2021 - theaterkrant.nl

10 ans du KIKK. Découvrez les immanquables de l'Echo.
05/11/2021 - L'Echo

Ugo Dehaes verving zichzelf als choreograaf door artificiële intelligentie en zijn dansers door robots. Stormopkomst heeft de Belgische première van zijn voorstelling Simple machines .
25/09/2021 - Gazet van Antwerpen

Ugo Dehaes zeigt in «Simple Machines» im Prinzip die Entwicklung der Technologie und die Dimensionen, die diese annehmen kann. Was er mit seiner Parodie indirekt – ob gewollt oder ungewollt – zugleich aufzeigt, sind die Gefahren, die ebendiese Entwicklung mit sich bringt: Wir gehen auf Gefühle ein, die in Wirklichkeit gar keine sind, und bauen Beziehungen zu Gegenständen auf, die leblos sind.
17/02/2022 - BaZ


14/02/2022 - bz


21/11/2022 - de-lage-landen.com

Ugo Dehaes verving zichzelf als choreograaf door artificiële intelligentie en zijn dansers door robots. Stormopkomst heeft de Belgische première van zijn voorstelling Simple machines.
25/09/2021 - Het Nieuwsblad - Regionaal

Krokus aka Zonnebloemfestival26-29/8 in Hasselt.Krokusfestival staat elk jaar garant voor fris theater en speelse dans voor jong en oud.
Ugo Dehaes met dansende robots
21/08/2021 - De Standaard - dS Weekblad - Filip Tielens

Tussen de voorstellingen van onder meer bekende gezichten Wim Helsen, Marcel Vanthilt en Soe Nsuki viel ook de performance ‘Forced Labour’ van de Leuvense choreograaf Ugo Dehaes op. Dehaes programmeert en knutselt zijn dansende robots helemaal zelf. “Ik ben hier veel minder choreograaf, maar eerder technicus”, glimlacht hij.
27/01/2020 - ​​​​​​​Het Laatste Nieuws

Arena

RATS

DMNT

DMNT est un spectacle de danse émouvant, une petite fenêtre ouverte sur le journal intime personnel de Dehaes, empreint de valeurs qui brisent les tabous.
12/01/2016 - Dansmagazine

'Nous bougeons comme des neurones qui sont en train de communiquer.'
11/11/2015 - Interview Knack

Captivating to see how dementia leads to total solitude, how the dance trio knows to show the disconcerting
31/01/2016 - Theaterkrant Review

Preview dans De Standaard
07/11/2015 - De Standaard Preview

"DMNT colle à la peau d’une pathologie lisible, ce qui permet de s’identifier à la démence. C’est bien pour cela que DMNT ne doit pas seulement monter sur scène, mais doit aussi aller vers ceux qui mènent ce combat. Pour ceux qui vivent dans un tel isolement, cette reconnaissance doit être une grande consolation."
16/11/2015 - De Standaard Review

De uitvoering is ingetogen en consciëntieus en vooral de slow motion-momenten zijn prachtig. Daardoor lukt het dit trio een michaamstaal te introduceren die raakt en waar je langzaam aan went, ook al is die voor de meeste toeschouwers volkomen vreemd.
16/02/2016 - Het Parool

"Dehaes crée un carrousel de portraits dansés de cerveaux où les danseurs s’enchevêtrent de plus en plus pour finalement s’écarter une nouvelle fois."
18/11/2015 - Knack Review

"Se touchant à peine, les danseurs s'enroulent les uns dans les autres, avant de s'enfermer chacun dans ses propres bras, et c'est d'une beauté bouleversante. Et le désespoir de leur regard tourné vers nous est poignant."
10/07/2015 - La Provence

Grafted duet

Grafted (Greffés)

"Comme si leurs têtes sont collées ensemble - l'axe centrale de cette chorégraphie - un jeu fluent et rythmique de lâcher et s'enchevêtrer, de soutenir et être soutenu, d'attirer et rejeter, se déploie. De là, tout le sérieux pathétique est filtré."
02/05/2013 - De Morgen

" Le meilleur spectacle de danse que j’ai vu depuis des éternités. Cette chorégraphie inhabituelle était puissante et comique, taquine et gentille. Dehaes m’a honnêtement donné un aperçu plein d’espoir dans la relation qui peut exister entre deux personnes. "
30/05/2014 - www.ongekunsteld.net

"Plaisir du jeu, humour, érotisme, un soupir en clin d’œil à Women : Dehaes sait comment rendre captivante une chorégraphie muette."
02/05/2013 - De Standaard

" **** Sous l’égide de Dehaes, les danseurs de Grafted atteignent un résultat magnifique, à couper le souffle, qui bouleverse, subjugue et colle à la peau. On a entendu plus d’un cri effrayé dans le public devant la souplesse avec laquelle ces artistes manÅ“uvraient leur corps. Après le spectacle, les danseurs ont dû revenir quatre fois pour recevoir les applaudissements. Chapeau ! "
02/05/2013 - CJP

"D’une beauté concluante, captivant."
01/05/2013 - De Theaterkrant

"Prétendument, la nouvelle chorégraphie est pleine des clins d'oeuil à ses créations avants, et dans cette pièce aussi, Dehaes fatiguerait physiquement ses danseurs afin de créer un mix de ballet et acrobatie curieusement sobre."
27/04/2013 - De Standaard

Autrefois, Dehaes dessinait des créatures/objets qu'animaient les danseurs. "A présent, je pars des danseurs. Je dessine leurs mouvements improvisés et ça, c'est la fondation de la chorégraphie. Mes ébauches sont mes partitions. Je dessine principalement pendant les répétitions."
24/04/2013 - Knack

GIRLS

"L' unité du groupe est soulignée par la respiration des danseuses. Sans musique, c'est le seul rythme qu'on peut entendre. Et il a un effet quasi hypnotisant sur le public."
27/05/2014 - Potsdamer Neueste Nachrichten

VORSCHAU AUF DIE POTSDAMER TANZTAGE
Schnell, konzentriert und nackt
 
Man merkt es sofort, wenn man das diesjährige Programmheft in die Hand nimmt: Kaum bekannte, lauter neue Gesichter! Nur die Companie von Lia Rodrigues aus Rio de Janeiro war bereits vor vier Jahren mit ihrer großartigen „Welle“ in Potsdam zu Gast. In diesem Jahr wird die Choreografin, die in Brasilien in einer Favela in Rio Pionierarbeit leistet, die Zuschauer in der Schinkelhalle hautnah am letzten Teil ihrer Trilogie – „Pindorama“ – teilhaben lassen.
13/05/2014 - Potsdamer Neueste Nachrichten

Girls & Victor
  Lapsi on poliittinen viesti Lapset näyttäytyvät usein silmiinpistävän poliittisina esityksissä, jotka on tehty aikuisille. Lapset ovat toisia, toisesta maailmasta ja valosta kuin me. Samalla kun aikuiset yrittävät antaa lapsille mahdollisuuden näyttää, keitä he ovat, aikuiset usein tahattomastikin määrittelevät heitä.   Zodiakin Sivuaskel-festivaalilla nähtiin kaksi aikuisten esitystä, joissa lapset olivat pääosassa. Paljon lasten kanssa työ
07/02/2014 - Teatteri & Tanssi + Sirkus

"L'expression des filles montre une indulgence et intimité pure vers les mouvements. Comme danseuses, elles semblent tout à fait professionnelles."
06/02/2014 - Helsingin Sanomat

"Cette fois-ci, Dehaes travaille avec huit jeunes filles, en examinant le moment où le microbe de danse contamine leurs jeunes corps."
30/04/2013 - De Morgen

"La plupart du temps, les filles apparaîsent naturelles et professionnellement concentrées sur leur soufle et pas. Et l'un sur l'autre, créant une unité solide. Girls est un portrait splendide de l'amitié des filles."
25/04/2013 - NRC Handelsblad

"Je pense que dans le monde de danse, il faudrait avoir plus de recyclage. Je ne vois pas le problème. GIRLS est globalement la même performance que WOMEN, mais cette fois-ci dansé par des jeunes filles. Pourquoi on ne pouvait pas donner une nouvelle vie à ses créations? Surtout si on pense que ça serait mieux qu'avant."
01/04/2013 - Dans Magazine

"Aussi fort qu'elles tentent de crier plus fort que les autres, aussi discipliné qu'elles transforment à un corps collectif organique et concentré. C'est ça que le chorégraphe Ugo Dehaes fait avec ces jeunes filles gloussantes: il crée un ensemble des individus."
21/02/2013 - De Morgen

" ***1/2 Ces huit filles portent cette chorégraphie et elles-même avec brio."
21/02/2013 - De Morgen

"Après Women, sélectionné pour le Theaterfestival 2011, GIRLS (Fabuleus) est un échantillon de danse à couper le souffle par (et pas uniquement pour) des jeunes qui met la barre d’un coup plusieurs kilomètres plus haut. L’énorme ambition de faire danser à des jeunes filles cette chorégraphie très exigeante, ce qu’elles font visiblement corps et âme, donne une danse à l’épreuve de tout sur une scène nue."
19/02/2013 - KNACK

"GIRLS est une expérience particulièrement belle. Le plus beau est de voir des adolescentes sans grande expérience réussir là où de jeunes adultes professionnels s’égarent parfois : sur scène, ne pas s’occuper d’elles-mêmes mais de l’histoire qu’elles veulent nous raconter. Et cette histoire est d’une beauté désarmante."
18/02/2013 - De Standaard

"GIRLS fait mouche. En une symbiose minutieuse de respiration et de timing dans les mouvements, ces jeunes filles vous attendrissent pendant toute une heure. Génial non ?!"
18/02/2013 - Theaterkrant

"GIRLS est un voyage à travers des ambiances différentes, qui veulent tous projeter une autre émotion vers le public."
14/02/2013 - Knack Focus

Annonce dans De Streekkrant.
13/02/2013 - De Streekkrant

"Avec Girls, Dehaes crée la contrepartie ultime de WOMEN. Cette fois-ci les vedettes du jour sont huit jeunes filles entre 10 et 14 ans."
13/02/2013 - Rondom Leuven

"Après avoir créé WOMEN, le chorégraphe Ugo Dehaes voulait plus. Donc il créait le 'prequel' parfait à cette performance pure qui était vivement accueilli. La première de GIRLS est prévu le 15 février à OPEK et elle promait d'être d'une beauté époustouflante."
01/02/2013 - Uit In Leuven

"Une performance sur la passion et nos pulsations cardiaques et sur la vulnerabilité avec lequel chaque début commence."
05/01/2013 - De Standaard

"L'année passée, Ugo Dehaes a créé la pièce WOMEN, une performance avec huit femmes âgées de 30 ans et plus. Maintenant il prépare la même performance, mais cette fois-ci avec huit jeunes filles âgées de 9 à 14 ans."
14/11/2012 - cobra.be

"La vivacité, l’énergie, la passion qui anime chaque jeune fille donnent à la chorégraphie une couleur toute particulière. On y découvre des nouvelles personnalités dans toute leur force et leur vulnérabilité."
29/09/2015 - Nouvelles De Danse

WOMEN

Review sur livecity.it
17/02/2012 - livecity.it

"Les mouvements résolus et forts des femmes sont renforcés par les sons qu'elles produisent. Dehaes fait chanter leur respiration. Les danseuses soufflent, halètent et gémisent. Elles semblent être des musiciennes."
28/10/2011 - De Volkskrant

"La performance est saisie comme distante, mais elle est vraiment captivante d'un but à l'autre par la chorégraphie, qui encourage tout le monde à se cadrer bien dans le tout. Et ça marche!"
21/10/2011 - Nieuwsblad van Geel

"Le spectateur revoit son propre corps sur scène. La respiration thématisée par Dehaes est un instrument imparable. Elle rend le corps dansant tangible et vivant et entraîne le spectateur, contre son gré. Women n’est pas seulement magnifique, Women touche aussi. Mission accomplie."
01/10/2011 - rekto:verso

"Avec Women, Ugo Deheas présente des beaux materiaux de mouvement, avec une simplicité convenable et un auto-relativisation respirant."
28/09/2011 - Goddeau.com

Critique poétique dans le Corpus Kunstkritiek
02/09/2011 - Corpus Kunstkritiek

Annonce dans le CJP Magazine
01/09/2011 - CJP magazine

"Women est une performance de danse qui pas seulement montre les caractéristiques individuelles des danseuses, mais les réunit vraiment - par rythme, son et danse."
01/09/2011 - cuttingedge.be

"De Morgen qualifiait WOMEN comme la découverte la plus excitante du Theaterfestival 2011: C’est une chorégraphie géniale où les performers peuvent être libres, exécuter les mouvements tels qu’ils s’adaptent à leur corps et à leur réflexion."
25/08/2011 - De Morgen

Annonce sur cobra.be
23/08/2011 - cobra.be

Où est-ce que vous devez aller? 5 conseils...
21/08/2011 - De Standaard

Annonce dans le Standaard
27/05/2011 - De Standaard

Finalement, le Theaterfestival montre le meilleur (de nouveau)
26/05/2011 - Knack

"Ici, pas de falbalas ni blablas ou autres effets. Ugo Dehaes essaye avec ce groupe de femmes de revenir à l’essence de la dynamique de la danse et de la force de ses exécutantes. Dans une symbiose minutieuse de la respiration et du timing des mouvements. Le résultat est éblouissant."
23/04/2011 - TheaterMaggezien

"WOMEN est absolument recommandé pour qui veut se laisser toucher par le subtil, comme une nuance dans une respiration. Ugo Dehaes traduit cette essence dans une chorégraphie en parfait équilibre entre morosité et humour.
★★★★☆"
08/04/2011 - De Standaard

Annonce dans le Pas Uit Oost-Brabant
01/04/2011 - Pas Uit Oost-Brabant

Annonce dans le Uit in Leuven
01/04/2011 - Uit in Leuven

"Une performance qui est essentiellement physique et dansant, de fierté inimaginable"
25/03/2011 - TAKT#6

"Par son duo Couple-Like (en collaboration avec Keren Levi), on connaît Dehaes comme un maître à installer des situations et images simples, mais très inventives et impeccables"
24/03/2011 - < H >ART

FORCES

couple-like #2

couple-like

Somerszene Salzburg 'Couple-Like'

Im Rahmen der sommerszene salzburg führten Keren Levi und Ugo Dehaes in der ARGEKultur ihr erfolgreiches Stück „Couple-like“ auf. In diesem Konzepttanz der beiden Tänzer versuchen sie das Bedürfnis mit seinem Partner zu verschmelzen darzustellen.
Um nicht von der Performance der beiden Künstler abgelenkt zu werden, wurde die Bühne schwarz gehalten und gänzlich leer belassen.
Zu Beginn bewegen sich die beiden Künstler langsam auf den Boden kriechend zueinander, berühre
03/07/2009 - Dorf Zeitung

Kampf und Leidenschaft

Atmen, Stöhnen, Keuchen und immer wieder das Aufeinanderprallen und Ineinanderknallen zweier Körper: Keren Levi und Ugo Dehaes sind mit ihrer darstellerischen Präzenz eine Traumbesetzung für diese inTanz verwandelten Szenen einer Beziehung. Im Rahmen der "sommerszene 09" gastieren Levi und Dehaes (Amsterdam/Brüssel) mit ihrem Programm "Couple-like" in der ARGEkultur Salzburg, Josef-Preis_allee 16, heute Donnerstag, 2. Juli, um 21 Uhr. Karten under Tel. 0662/84 37 11
02/07/2009 - Salzburger Nachrichten

Keren Levi & Ugo Dehaes

Die Bühne is schwarz, schnörkellos. Am leeren Tanzboden bewegen sich ein Mann und eine Frau auf Knien aufeinander zu bis sich ihre Köpfe berühren, schwer aneinander pressen und scheinbar verschmelzen.
Von diesem Moment an beginnt ein 45-minüter Kampf aus körperlicher Reibung, Leidenschaft und Schmerz und der ständigen Sehnsucht nach dem Einswerden, die sich nie erfüllen kann; dieser Zustand ist weithin auch bekannt unter dem Begriff "Beziehung".
Das Motiv, das Keren Levi und Ugo Dehaes in
01/07/2009 - Belgische Botschaft - Flämische Repräsentanz


29/04/2009 - Revizor, SISSO KRITIKAJA

"Leur respiration devient plus violente, ils montent l'un à l'autre. La pièce est un tourbillon naturel des mouvements qui semblent être créés sur place."
28/04/2009 - Noordoos Polder

"Ils se touchent, ils roulent, ils dansent insouciants. Rarement, on voit une pièce de danse qui est en même temps si intime et si aventureuse, qui est non conventionnelle, mais qui est trempée d'un désir qui touche chaque spectateur."
20/03/2009 - Leids Dagblad

"C’est fascinant de voir les postures, défis et confrontations possibles entre deux personnes. On pourrait parler d’acrobatie, sans que les danseurs ne cherchent à se donner en spectacle. En effet, cette danse est trop personnelle et intime. La musique s’entend à peine et c’est tant mieux."
11/10/2007 - Het Leidsch Dagblad

"Couple-like est une expérience réussie de Keren et Dehaes. Avec une quantité minimale de moyens (une piste de danse sobre et ne que quelques lampes), ils atteindent un résultat optimal."
19/06/2007 - www.theatercentraal.nl

"Dans Couple-Like, Ugo Dehaes et Keren Levi tâtent les frontières d'être ensemble. En bougeant, ils activent un discours qui navigue entre la recherche rationnelle et l'intimité, entre l'animalisme et l'humanité."
31/03/2007 - www.urbanmag.be

"Comme spectateur, on est rapidement emmené par les images absurdes que provoquent les corps."
08/03/2007 - www.urbanmag.be

"Leur contact continu prend plusieures formes. Ils poussent et tirent, roulent et balancent, sans perdre le contact physique."
08/03/2007 - www.urbanmag.be

"Les mouvements sont plus variés et se mixent plus organiquement. Aussi beau est le moment où les danseurs sont jetés sur la scène et tournent la tête au désespoir."
08/03/2007 - www.urbanmag.be

"Couple-like est une forte pièce de 'contact improvisation'. En plus, c'est une belle performance de danse artisanale et conceptuelle, prosaïque et subtile."
27/01/2007 - NRC Handelsblad

"Elle et lui étant femme et homme, dit tout. Les corps sont les ingrédients, pas beaucoup plus."
25/01/2007 - www.urbanmag.be

"Couple-like offre des moments forts, inventifs de danse, et cependant ne parvient pas à passionner en permanence. Spectateur, on reste à l’écart: on n’a rien à voir avec cette rencontre."
27/10/2006 - De Morgen

"Ce sont des chorégraphies sinueuses, tout se joindre et même leur aspiration s'adapte l'un à l'autre."
25/10/2006 - ktjefloke.web-log.nl

"Comment unir deux corps, deux énergies différentes, deux personnes?"
13/10/2006 - Zagreb, Z. Ra.

Pickled Punks

coupure

I Put a Spell on You

Bleu Bleu

A la dérive

Tandis que le théâtre Océan Nord crée Bleu Bleu, une comédie grunge, les Halles préparent une méga teuf artistique, invitation "à la dérive collective". A chacun son lyrisme. Dans Bleu Bleu, Stéphane Arcas nous emmène à Toulouse, en 1992, où il s'est formé aux arts plastiques. Le pitch: "Hades, à la dérive, brûle la vie et la noie dans les stupéfiants, le sexe et la mouvance grunge. Avec 3 amis artistes, ils se lancent
23/01/2014 - Le Vif

Trois pièces sur la fragilité psychique, à partir de cas vécu. Touchant, délicat, parfois inégal.
 
  "Bleu Bleu" Stéphane Arcas - (c) Michel Boermans Bleu, bleu de Stéphane Arcas: "grunge" attitude ***
Il était une fois un artiste, dans les années 90, vivant ses 20 ans au milieu d’une bande potes aussi paumés que lui.
Entre la chute du mur de Berlin et avant le 11 septembre, le début d’un "no future" qui dure
23/01/2014 - rtbf.be

BLEU BLEU ( THEATRE OCEAN NORD)

 
Cette  magnifique chanson  composée et  interprétée par Mouloudji a été diffusée en radio  pour la première fois le 14 janvier 1992. 

 
BLEU BLEU / STEPHANE ARCAS
 
Toulouse, 1992. Hades est un jeune home à la dérive. Il brûle la vie par tous les bouts et la noie dans les stupéfiants, le sexe et la mouvance grunge. Il appartient à un groupe de trois artistes.
Leurs poin
19/01/2014 - Les feux de la rampe

STÉPHANE ARCAS
A l’occasion de la création de Bleu Bleu au théâtre Océan Nord, le metteur en scène et plasticien Stéphane Arcas nous parle de sa jeunesse, de son travail et de son approche du théâtre.
L’aspect autobiographique est très important dans Bleu Bleu ?
Cet aspect est “déjà loin”. L’ayant ré-écrit plusieurs fois, moi-même je ne me reconnais plus vraiment dedans. C’est tout l’intérêt de
19/01/2014 - Le Comedien

Drogue, grunge, art, voilà le cocktail qui a fait de Bleu Bleu une pièce attendue par bon nombre. Offrant donc salle comble dès sa première.
Nous sommes plongés dans la pénombre, un vaste intérieur d’appartement -plutôt semblable à un squat- se profile. La seule source de lumière est un lustre qui diffuse son aura sur un anti-héros inspiré, imbibé, trippé trippant. Premier monologue d’introduction qui fait écho à qui a pu activement faire la fête et qui f
18/01/2014 - Culture Remains

Petite révolution dans l’Hades’ Factory Une kyrielle d’acteurs talentueux, trop nombreux pour les énumérer bien qu’ils le méritent amplement, occupent la scène métamorphosée du théâtre Océan Nord, déguisée pour un soir en vieil appartement d’artistes avec un réalisme surprenant. « Ma génération m’emmerde », est le leitmotiv de la soirée, les jeunes artistes passent leur temps à « faire le parallèle ent
17/01/2014 - Demandez Le Programme

Voyage en pays grunge, à l’Océan Nord

"Bleu Bleu" de Stéphane Arcas, création plastique et métaphorique.
scènes Critique Marie Baudet
Les années 1990 sont, plus qu’une époque, un pays. Un territoire. À Toulouse, en 1992, Stéphane Arcas est étudiant aux Beaux-Arts et, en parallèle, noircit des carnets. Qui deviendront un scénario, seront perdus, retrouvés… À Bruxelles, en 2014, Stéphane Arcas - plasticien, acteu
17/01/2014 - La Libre

BLEU BLEU

Les acteurs sont là chez eux, dans leur squat d'artistes et nous, spectateurs, y entrons littéralement. Le décor nous y invite et nous happe presque comme le provoquerait une absorption d'hallucinogènes! Les dimensions rétrécissent, les barrières sautent! Nos sens sont en éveil! en réveil?

La vue est sollicitée de multiples façons. Par le cadre: un intérieur bourgeois délabré, les styles vestimentaires hétéroclites des personnages parta
16/01/2014 - Le Bourlingueur Du Net

Les années 90 en mode stupéfiant

Comédie grunge prévient le sous-titre de « Bleu Bleu » de Stéphane Arcas. Promesse vite tenue par Nicolas Luçon qui entame cette pièce sous acide, titubant avec une folie douce dans une fascinante envolée lyrique sur les reflets bleutés d’un bouquet de bouleaux dans la nuit. La logorrhée du camé s’envole ensuite vers des considérations plus terre à terre mais sans se départir de ses allures de po&egrav
16/01/2014 - Le Soir

Conflits d'une génération sacrifiée

Bleu Bleu dresse le portrait d'une époque et d'une génération. Celle du Grunge dont Stéphane Arcas a bien humé l'air, même si sa chanson est un peu longue.

Au milieu d'un appartement clashé de peinture et méticuleusement sacragé, vivotent trois aspirants artistes toulousains allumés : Hades, un grand corbeau halluciné entre Nick Cave, Thurston Moore et Mathieu Amalric; Nico, genre skateur à bonnet; et enfin
16/04/2013 - L'écho

Symballoo

Among the multitude

LA FORÊT, Vert Presque Vert

THE GREAT PUBLIC SALE ...

Act of living

Se fondre

KIKKBOTT

kennismaking hedendaagse dans

Popsongshowtime

Jeudi

POINT BLANK (Edit Kaldor)

Théâtre  "Point blank", d'Edit Kaldor : Le sens de la vie à travers l'objectif Cheveux blonds tombant sur les épaules, mains dans les poches de son jean, une jeune femme s'avance sur le plateau du Beursschouwburg. Un peu gauche, elle se présente et explique sa présence sur le plateau.  "Mon nom est Io et je connais Edit depuis que j'ai cinq ans." Edit, c'est Edit Kaldor, conceptrice du spectacle.
12/05/2007 - Le Soir, WYNANTS,JEAN-MARIE

Edit Kaldor in gesprek met Elke Van Campenhout
10/05/2007 - www.kfda.be, Elke Van Campenhout


Point Blank In your earlier plays, Or Press Escape and also in New Game, technology plays an important role. Or Press Escape takes place entirely on a computer desktop, and in New Game we find ourselves in the world of a videogame. In this play too, Point Blank, the main character looks at the world through a camera. How important is this technological mediation in your work?
When I'm creating a play, I don't start from the medium, in any case. With Or Press Escape, for instance, I wanted to make a performance about being alone. But of course, as soon as you address the
10/05/2007 - www.kfda.be, Elke Van Campenhout


Ze is geboren in Boedapest, woonde lange tijd in New York en vestigde zich via Gent in Brussel, waarmee ze van meet af aan op gespannen voet leefde. Daarom pendelt ze nu regelmatig tussen Brussel en Amsterdam. Een gesprek met Edit Kaldor, wereldburger, theatermaakster en voor de derde maal te gast op het KunstenFESTIVALdesArts met de performance 'Point Blank'.   "Ik ben eerst in Gent beland omdat ik op dat moment werkte bij het New Yorkse Love Theatre, en op uitnodiging van theaterhuis Victoria maakten we daar een productie. Ik werd verliefd, nie
20/05/2007 - Agenda, Patrick Jordens